1er mai 1960. Claude François, alors inconnu, habite sur la Côté d´Azur avec une jolie Anglaise, Janette Woolacott, la seule femme qu´il épousera (la noce aura lieu quelques mois plus tard, le 5 novembre). À Juan-les-Pins, Claude repère des gens du voyage et va les saluer. Une diseuse de bonne aventure lui prend la main, observe puis lui annonce : « Vous allez devenir célèbre, une grande vedette. Je vois la gloire, l´argent… mais votre vie sera courte, très courte… » Claude ne retient que la première partie de la prédiction et offre une brassée de brins de muguet à la dame. Tandis que Janette, elle, se montre tracassée par le second message. Le futur Cloclo hausse les épaules : « Ces femmes se trompent toujours un peu, ne t´inquiète pas. Ce qui compte, c´est qu´elle ait vu que je serai une vedette ! »
1970. Après des années de triomphe, la carrière de Claude François connaît un creux. Lui et Paul Lederman, son impresario
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