Mise au défi, notre journaliste ne s'est pas fait prier pour se prêter au jeu d'une consultation de tarologie par écran interposé. Récit.

 

Autant le dire tout de suite, je suis ce qu'on appelle une « bonne cliente », trop contente quand ma rédac chef me lance sur ce sujet, moi qui la tanne depuis quelques semaines pour qu'elle me confie un « J'ai testé » avec n'importe qui, sorcière, voyante, astrologue, cartomancienne, énergéticienne… Allons-y pour le tarot à distance.

 

La méthode

Nous avons choisi le tarot de Marseille, un jeu divinatoire décoré d'images allégoriques, qui daterait du Moyen Âge. Au total, 78 cartes, 22 Arcanes majeures, aux figures marquantes – l'Impératrice, la Mort, la Force, les Amoureux… – et 56 arcanes mineures plus abstraites, toutes censées refléter le subconscient.
 

La tarologue. Sixtine Naud, 33 ans, à l'origine directrice artistique, a fait de ses séances de tarologie son activité à plein temps depuis décembre dernier. Elle reçoit chez elle, ou procède par appel visio. Elle ne s'est pas improvisée professionnelle : après avoir pratiqué « beaucoup de méditation » et exploré « un long chemin de développement de la spiritualité à travers l'étude des religions dans leur version ésotérique – la kabbale, le soufisme », elle a « suivi un tarologue pendant plusieurs mois ».


Le premier coup de fil. C'est l'occasion de faire connaissance et de bénéficier d'une explication sur sa pratique. Pour elle – contrairement à d'autres –, il n'est pas question d'une lecture de l'avenir, mais plutôt d'un regard sur ma situation actuelle afin de voir comment faire bouger les lignes. « Par exemple, je ne vais pas vous dire quand vous allez rencontrer l'homme de votre vie ...

 

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Par Soline Delos