Astrologie : en amour et dans leur sexualité, ces personnes font confiance aux astres

« Cosmic Love », émission de téléréalité présentée par Nabilla, se présente comme « le premier dating show basé sur l’astrologie ». Dans la vraie vie aussi, certains accordent une importance capitale à la compatibilité astro dans le choix de leurs partenaires.

 AMOUR - Ils sont douze, comme les signes du zodiaque. Douze garçons célibataires qui participent à Cosmic Love, la nouvelle émission de télé réalité présentée par Nabilla Vergara, lancée il y a une semaine sur Amazon Prime et dont les six derniers épisodes sont en ligne ce vendredi 13 janvier. Douze candidats qui devront conquérir le cœur de l’une des quatre femmes présentes dans le show en se fiant à leur compatibilité astrologique.

Ce « dating show » surfe sur l’engouement actuel autour de l’astrologie - « l’outil parfait, selon Nabilla, pour trouver la personne qui [nous] est destiné ». Comme les candidats de Cosmic Love, ils sont nombreux à confier, de près ou de loin, une partie de leur vie sentimentale et sexuelle à l’interprétation des astres.

C’est le cas de Maël, jeune réalisateur de 24 ans qui vit à Paris : « Je vais plutôt dater des signes d’eau, comme les Scorpions ou les Cancers. Je suis Poisson et les signes de terre sont aussi compatibles avec moi. En revanche, les signes de feu, c’est compliqué… Même si le Bélier est un très bon coup. » L’astrologie jusqu’au fond du lit.

Pour Mathilda*, 24 ans elle aussi, les signes avec lesquels elle est compatible sont « les Lions, les Sagittaires, les Capricornes, les Verseaux et parfois les Gémeaux ». Elle admet ne plus dater les personnes dont elle est « sûre que le signe astrologique n’est pas compatible » avec le sien.

Des sites et applis dédiés


Ils ne sont pas les seuls à prendre les astres au sérieux. Selon une enquête de l’Ifop sur le rapport des jeunes à la science et au paranormal, parue le 11 janvier 2023, 49 % des jeunes âgés de 18-24 ans - sur un échantillon de 924 sondés - estiment que...


Lire la suite sur huffingtonpost.fr


Par Mathieu Alfonsi